À titre personnel, j’ai toujours été attirée par les travaux manuels et disciplines artistiques variées (photographie, dessin, musique, couture…) et j’ai pu me découvrir une passion pour la peinture.

Lorsque mes proches m’ont suggéré d’exposer mes toiles, ma première réaction fût de rire.
“Moi, dans une galerie ? Je n‘ai pas fait les Beaux-Arts, je ne suis pas cotée...“.
Je me sentais totalement illégitime.

L’idée de Mirette a alors commencé à germer en moi : proposer un espace accessible au plus grand nombre, mettant en avant une multitude d'artistes encore méconnu·e·s qui n’osent pas frapper aux portes des galeries. Et dans le même temps, permettre aux artistes de toucher une clientèle qui elle même n‘ose pas fréquenter ces lieux.

De là, ma réflexion s‘est étendue :
Trop d’artisan·e·s au savoir-faire précieux ne disposent pas du temps, des compétences, ou de l’envie de gérer un site internet, des campagnes promotionnelles, un compte sur les réseaux sociaux… Ils et elles restent alors trop peu connu·e·s et peinent à vivre de leur travail.

Pourtant, l’envie des acheteur·euse·s tend de plus en plus vers le rapport humain, le fait main, la consommation éthique… L’envie de se sentir bien chez soi avec une décoration qui fait sens.

L‘idée de Mirette était née :
réunir des éléments d‘art et de décoration éthiques valorisant le travail d’artistes et artisan·e·s, pour toutes les pièces de la maison, sur une seule plateforme.

- Alexia Réau, fondatrice de Mirette